In(En) 6 volumes

By(par) Muhammad Jamal El Kadiri

20241130

On nationality, migrations and borders inherited from colonialism. / De la nationalité , des migrations et des frontières héritées du colonialisme.



Good day,

Readers want to know what I think about the items mentioned in the subject, in this first quarter of the twenty-first century, with what is happening around the world at the moment: wars, massacres, famine.

1) Nationality:

- Change of nationality: Everyone is free to give up this original nationality, most often acquired by birth. But the question of motive arises...

- Dual nationality: This particularly concerns personalities who do not want to put all their eggs in one basket and quickly leave the country where they encounter problems. As for those who are offered a nationality because they have become famous, no comment! Personally, I would never accept it.

- On the loss of nationality: It is justified in cases of high treason. Unfortunately, in dictatorships, it is thugs who arrogate to themselves the right to judge the "treason" of patriots.

2) Migration:

- It is wars, political persecution, famine or poor living conditions in their countries that encourage people to migrate. It is not a question of knowing whether they have the right to do so but of understanding the absolute necessity they have to do so.

- Western countries must manage the reception of migrants and think about finding satisfactory solutions for their return to their country of origin or accept them into their societies through intelligent integration (Having them learn the language and providing them with work). This most often involves a change in the retrograde and predatory political regime in their country of origin or the absence of racism in the countries where they emigrate.

3) On the inviolability of borders inherited from colonialism:

- Decolonization in the 1960s established the inviolability of borders, in order to avoid fratricidal wars between border ethnic groups.

- The self-determination of peoples resulting from decolonization is a constant of the United Nations.

-----------

Bonjour, 

Des lecteurs veulent savoir ce que je pense des items cités en objet, en ce premier quart du vingt-et-unième siècle, avec ce qui se passe en ce moment de par le monde : guerres, massacres, famine.

1) De la nationalité :

- Du changement de la nationalité : Tout un chacun est libre de se dessaisir de sa nationalité d'origine, acquise le plus souvent par la naissance. Mais se pose la question du mobile...  

- De la double nationalité : Cela concerne notamment les personnalités qui ne veulent pas mettre leurs œufs dans le même panier et quitter rapidement le pays où ils rencontrent des problèmes. Quant à ceux à qui on propose une nationalité parce qu'ils sont devenus célèbres, sans commentaire ! Moi, personnellement, je ne l'accepterais jamais.

- De la déchéance de nationalité: Elle se justifie en cas de haute trahison. Malheureusement, dans les dictatures, ce sont des voyous qui s'arrogent le droit de juger de la "trahison" de patriotes.

2) Des migrations :

- Ce sont les guerres, la persécution politique, la famine ou la mal-vie dans leurs pays qui incitent les gens à migrer. Il ne s'agit pas de savoir s'ils ont le droit de le faire mais de comprendre l'absolue nécessité qu'ils ont de le faire.

- Les pays occidentaux doivent gérer l'accueil des migrants  et penser à trouver des solutions satisfaisantes pour leur retour dans leur pays d'origine ou les accepter dans leurs sociétés par une intégration intelligente(Leur faire apprendre la langue et leur procurer du travail). Cela passe le plus souvent par un changement de régime politique rétrograde et prédateur dans leur pays d'origine ou par l'absence de racisme dans les contrées où ils émigrent.

3) De l'inviolabilité des frontières héritées du colonialisme:

- La décolonisation dans les années 60 a consacré l'inviolabilité des frontières, afin d'éviter des guerres fratricides entre des ethnies frontalières.

- L'autodétermination des peuples issus de la décolonisation est une constante des Nations Unies.