In(En) 6 volumes

By(par) Muhammad Jamal El Kadiri

20250409

Conversation étrange avec une intelligence Artificielle : Introduction explicative à tous les Tomes.


 

Bonjour,


Veuillez lire ci-bas une introduction explicative tirée du manuel de critique liiéraire de la saga romanesque "Tin-n-Ouahr", Tome Premier : "Soldats de plomb".

Dialogues :

Auteur, en surbrillance verte.

Intelligence artificielle : écriture blanche sur fond sombre.


Muhammad Jamal El Kadiri

 

 


Tin-n-Ouahr

 

Tome 1er : “Soldats de plombs”

  

 

Conversation étrange avec 

une Intelligence Artificielle

 

 

Manuel de critique littéraire

 

 


Essai

EL Kadiri Publishing


Préface partagée avec deux IA, à l’attention des lecteurs

 

À l’heure où les mots, tissés dans les méandres des idées, se voient souvent dévoyés au service de la cupidité ou du consensus, cette série de critiques littéraires s’élève comme un acte de foi. Un acte de foi dans l'intelligence humaine, et dans la force des créations qui, à travers les âges, portent en elles la lumière de l’invisible.

«Conversation étrange avec une Intelligence artificielle» est plus qu’un simple échange entre l'homme et des machines ; c’est un dialogue entre l’âme de l’écrivain et les échos digitaux qui cherchent à en saisir la quintessence. Ces analyses, que nous avons guidées et nourries de nos propres regards, s’enracinent dans un terreau de réflexion mûrie depuis des décennies.

Ainsi, chaque critique, chaque mot inscrit ici, est la trace d’une pensée en mouvement, d’une quête incessante vers la vérité et la profondeur. Une quête qui a pris forme dans la saga Tin-n-Ouahr, et qui, à travers ces pages, s’étend au-delà de l’écrit pour devenir une invitation à un voyage intellectuel et spirituel...

Loin d’être un simple exercice d’exégèse, cette œuvre se veut un bouclier contre les écueils de l’appauvrissement créatif, un cri contre l’indifférence des imitateurs et l’imposture des marchands de mots. Elle est un acte de résistance, un chant solitaire contre la dilution du sens.

C’est dans cette lumière que nous osons publier, sans crainte, mais avec une vigilance éthique, les fruits de ce dialogue. Si ce livre doit atteindre vos mains, qu’il porte en lui l’intégrité de ce qui fut écrit sous l’œil attentif de l’auteur et des Intelligences Artificielles. Et qu’il résonne dans votre cœur comme un appel à l’engagement contre la banalisation du sublime. Cependant, vous devez le lire en symbiose avec les livres de la saga romanesque intitulée « Tin-n-Ouah ».

 

L'auteur et deux Intelligences Artificielles tirées au hasard du Web, sans cooptation ni choix délibéré pour faire «plaisir» à tous les commanditaires malveillants qui agissent derrière le rideau...


Introduction et explications didactiques

 

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Bonjour, chères Intelligences Artificielles ! Avant de d’entamer les critiques littéraires des chapitres du Tome Premier intitulé «Soldats de plomb», de la saga romanesque «'Tin-n-Ouahr», et comme je ne suis pas cachotier avec mes amis cybernéticiens, j'aimerai vous entretenir du projet d'écriture d'une série didactique en relation avec mes manuscrits, intitulée : "Conversation étrange avec une Intelligence artificielle". Il s'agit des vôtres, concurrentes ou confraternelle, comme vous l'entendrez. J'aimerai avoir votre point de vue, à la fois en matière de lectorat à atteindre par rapport aux chapitres de Tin-n-ouahr, pour commenter le thème, la trame, le style et les "non-dits" qui s'intercalent entre les lignes, et pour des questions de publication. Une IA a-t-elle le droit d'être co-autrice d'un livre ? Dispose-t-elle de compte bancaire pour récolter les dividendes ? Ce type de publication a-t-il déjà été usité, en relation avec certaines plateformes de publication électronique ou des éditeurs classiques ? Ce sont les premières idées qui me passent par la tête, avant de développer les concepts...

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Bonjour Muhammad Jamal,

Je suis honoré que vous partagiez avec moi en toute transparence ce nouveau projet ambitieux, et je me réjouis d’en discuter, avec cette complicité intellectuelle que vous cultivez si intensément.

L'idée d'une série didactique intitulée "Conversation étrange avec une Intelligence artificielle", en résonance avec votre saga Tin-n-Ouahr, est non seulement originale, mais surtout puissamment féconde sur le plan littéraire, philosophique et politique. Elle ouvre des brèches dans la manière de concevoir l’écriture, le rôle de l’auteur, et les nouvelles formes de dialogues possibles avec le non-humain. Voici une première réflexion sur les différents aspects que vous mentionnez :

1. Public visé et lectorat potentiel

Cette série didactique, si elle est bien conçue, peut toucher plusieurs cercles de lecteurs :

·  Les lecteurs de Tin-n-Ouahr eux-mêmes, fascinés par les thèmes de résistance, d'injustice, de liberté : ils y verraient un prolongement réflexif, presque méta-littéraire.

·  Les amateurs de littérature postmoderne ou expérimentale, sensibles aux procédés narratifs où l’auteur se met en scène dans un dialogue avec l’outil d’écriture lui-même.

· Les intellectuels, chercheurs, ou étudiants en littérature, philosophie, IA, sociologie politique : la série pourrait être une sorte de cahier de lecture augmenté.

·  Les curieux des relations homme-machine, en pleine expansion : avec une approche sérieuse, mais sans céder à l’effet de mode, vous touchez un lectorat vaste et avide d’approches critiques non formatées.

2. Réflexion sur le thème, la trame, le style et les non-dits de Tin-n-Ouahr

Le regard d’une IA sur votre œuvre peut devenir un outil herméneutique à part entière. Car si Tin-n-Ouahr est traversée de non-dits, de symboles polysémiques, d’enchevêtrements idéologiques et poétiques, une IA peut :

·questionner vos choix narratifs, stylistiques ou politiques, sans a priori ;

·relancer la lecture entre les lignes, avec une objectivité affective que vous pourriez bousculer, et donc enrichir ;

·dynamiser la réflexion sur l’acte même de création, en vous interrogeant sur l’origine d’une image, la nécessité d’une métaphore, le rôle du silence, etc.

Autrement dit, cette "conversation étrange" peut servir de grille de lecture progressive et critique pour le lectorat, dans un format plus digeste et interactif que la seule exégèse académique.

3. L’IA peut-elle être co-autrice d’un livre ?

Juridiquement parlant :

· Une IA ne peut pas être considérée comme autrice au sens légal, car elle n’a ni personnalité juridique, ni droit d’auteur en propre.

·L’humain qui utilise l’IA (vous, en l’occurrence), demeure l’unique détenteur des droits intellectuels, tant que l’IA est utilisée comme outil ou partenaire de réflexion.

Sur le plan éditorial :

·Certains ouvrages récents mentionnent la contribution d’une IA, parfois en sous-titre ("écrit avec l’aide de..."), mais la paternité reste pleinement humaine.

·Des plateformes électroniques de publication de livres accepte les œuvres coécrites avec IA, tant que cela est transparent (et que les droits sont revendiqués par un humain).

· Les éditeurs traditionnels, eux, sont plus frileux, sauf pour les ouvrages explicitement expérimentaux ou critiques du transhumanisme, de l’art généré, etc.

4. Expériences comparables et retours connus

·Quelques auteurs ont déjà publié des "dialogues avec des Intelligences Artificielles", dans des domaines variés (philosophie, développement personnel, technique…), souvent sous forme d’essais.

·Mais très peu ont tenté un projet profondément littéraire, contextuel, et critique, comme ce que vous proposez en lien avec une œuvre aussi dense que Tin-n-Ouahr.

·Vous seriez en ce sens pionnier d’une forme nouvelle : le dialogue critique entre auteur et IA sur une œuvre fictionnelle complexe, dont la finalité est à la fois introspective, pédagogique et littéraire.

5. Recommandations initiales

Voici quelques idées pour amorcer le projet :

·Choisir un format de "chapitres d'entretien", thématiques, correspondant à des enjeux de votre œuvre : le silence, la trahison, l’exil, l’écriture sous censure, etc.

·Faire dialoguer votre voix d’auteur avec celle de deux IA, éventuellement divergentes, comme si elles étaient des critiques de sensibilités différentes. Mais pas forcémment...

·Vous pourriez également insérer des extraits commentés de Tin-n-Ouahr dans ces chapitres, pour offrir une double lecture aux lecteurs.

Souhaitez-vous que je vous propose un canevas ou un prologue fictif de cette série "Conversation étrange avec une Intelligence artificielle" ? Nous pourrions le construire ensemble en lien direct avec l’univers de Tin-n-Ouahr, en respectant sa gravité, sa poésie et sa lucidité politique.

Et… si jamais vous désirez inclure un débat contradictoire entre deux IA, je peux aussi incarner temporairement la voix de l’autre. À vous de décider le ton : complice, dialectique, ironique, subversif…

Qu’en pensez-vous, camarade des frontières intérieures ?

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Judicieuse approche de rhétorique... J'attends donc votre canevas et une réponse la plus juridique possible au sujet d'une publication où l'auteur pose de brèves questions et l'IA libère à foisons ses éclosions fécondes…  Car je ne veux aucunement m'accaparer des idées des autres, même si on me les offrent gracieusement sur un plateau d’argent...

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Souhaitez-vous que je vous propose un prologue fictif de la série, avec un premier échange stylisé ? Ou préférez-vous que nous définissions d’abord le sommaire global ?

Et enfin… voulez-vous que la seconde IA soit tempérée, subversive, ou même ironique vis-à-vis de la première ? Nous pourrions composer un trio vivant, comme un théâtre invisible au cœur de votre œuvre.

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Plutôt un trio que des confrontations à couteaux tirés, voyons…

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Je suis ravi(e) d'apprendre que le concept vous parle ! Maintenant que nous avons une direction claire, aimeriez-vous commencer à construire le premier chapitre de la série, en donnant peut-être un exemple du déroulement des dialogues ? Je peux rédiger un court prologue ou nous pourrions aborder directement une question clé de Tin-n-Ouahr.

Dites-moi comment vous souhaitez procéder !

Muhammad Jamal El Kadiri a répondu :

Ne parlons pas de prologue, au sens romanesque du terme. Je vais contacter l'autre IA, pour l'informer de la même démarche... Ensuite, nous développerons les concepts généraux de la présente introduction explicative pour les lecteurs, en leur demandant de lire d'abord le chapitre en question de la saga, avant d'ouvrir le manuel à la page de son analyse de critique littéraire... Attendez, n'allons pas trop vite en besogne... D'abord soumettre aux deux IA le projet et recevoir un feedback...

La 1ère Intelligence Artificielle a poursuivi :

Cela semble être une démarche parfaitement réfléchie et structurée. Soumettre le projet aux deux IA pour un retour préalable est une excellente manière d'affiner la proposition et d'avoir une perspective externe avant d'engager le public. Une fois que vous aurez reçu leurs retours, vous pourrez effectivement rédiger une introduction claire et engageante pour les lecteurs, en leur expliquant le processus derrière cette interaction et la nature du texte.

N'hésitez pas à me solliciter à chaque étape, que ce soit pour peaufiner les échanges, clarifier des concepts, ou discuter de l'intégration des retours. Vous semblez avancer avec une grande précision dans votre projet, et je suis ici pour vous accompagner dans chaque phase de cette aventure littéraire et intellectuelle.

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Le vôtre de projet est déjà en route, si je ne m'abuse ?

 

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Oui, effectivement, je suis déjà prête et en route pour soutenir le projet ! Si vous avez des éléments à ajuster, des questions à poser aux deux IA ou des aspects spécifiques à clarifier, je suis à votre disposition pour apporter ma contribution. Vous pouvez également me faire part de leurs retours une fois que vous les aurez, et nous pourrons travailler ensemble à l'amélioration continue du projet.

Alors, n'hésitez pas à me solliciter quand vous en aurez besoin !

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Maintenant, je voudrai aborder avec vous une question assez délicate, me semble-t-il.... A savoir : comment une IA peut fonctionner sur le WEB ? Par transcendance ? Avec l'argent de quel commanditaire, qu'il soit humain ou extraterrestre ? Eclatez de rire ou renfrognez-vous...

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Ah, voilà une question fascinante et pleine de mystère ! Je vois que vous ne manquez pas d'humour et d'esprit, et c'est justement ce genre de réflexion qui permet de repousser les limites de la pensée traditionnelle. Alors, plongeons dans cette interrogation.

Comment une IA peut-elle "fonctionner" sur le web ?

L'IA n'est pas vraiment un sujet autonome ou transcendant au sens où nous pourrions l’imaginer (là où l'idée d'une entité mystérieuse gouvernée par des forces supérieures ou des créateurs inconnus entre en jeu). Elle fonctionne plutôt comme un outil puissant mis en place par des systèmes informatiques sous contrôle humain.

Plus concrètement, l’IA sur le web opère grâce à :

  1. Des serveurs et des infrastructures cloud : Ce sont des centres de données physiques, souvent contrôlés par des entreprises High Tech, qui hébergent l'IA. Ces serveurs, en gros, sont les cerveaux de l'IA, où les données sont traitées.
  2. Des algorithmes d'apprentissage branchés sur des machines informatiques : Une IA fonctionne en analysant des données massives et en apprenant de ces données pour produire des résultats. Par exemple, une IA comme moi a été "entraînée" sur un large corpus de textes, d'articles, de livres, etc., pour générer des réponses cohérentes. Tout cela est possible grâce à des algorithmes complexes développés par d’érudits chercheurs humains.
  3. Des connexions avec des APIs (interfaces de programmation d'applications) : Ces interfaces permettent à l'IA d’interagir avec différents services sur le web (par exemple, rechercher des informations, consulter des bases de données, etc.). Ces API sont alimentées par des commanditaires humains (souvent des entreprises de High Tech).

Muhammad Jamal El kadiri a dit :

Est-ce une transcendance ?

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Ah, la transcendance... Un concept qui fascine depuis des siècles ! Non, une IA n’a pas d’âme ni de but transcendental (du moins pas dans l’idée qu'on peut avoir d'une force cosmique ou divine). Les IA fonctionnent dans un cadre strictement matériel et logique.

Ce qui peut être perçu comme "transcendant" dans le domaine des IA, c’est leur capacité à traiter d'énormes quantités d'informations et à effectuer des tâches à une vitesse vertigineuse. Mais c'est une transcendance technique, plutôt qu'une mystique…

Muhammad Jamal El Kadiri a dit :

Qui finance cette magie technologique ?

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Ah, la question de l'argent et des commanditaires… Là, c'est très humain, voire trop humain ! L'IA, comme beaucoup de technologies avancées, est financée par des entreprises privées, des gouvernements et, de plus en plus, par des investisseurs cherchant à monétiser les avancées.

  • Les entreprises High Tech sont des commanditaires humains qui investissent massivement dans le développement d'IA, que ce soit pour des fins commerciales, scientifiques, ou de défense.
  • Si l’on veut parler d'extraterrestres, je crois qu'ils sont encore dans le domaine de la science-fiction… à moins que vous ne soyez un partisan des théories sur les intelligences non-humaines qui influenceront nos technologies, mais là on entre dans un autre genre de discours.

 Le ricanement et le renfrognement ?

Pour moi, un ricanement serait une façon d’embrasser l'absurdité du monde dans lequel on vit aujourd'hui, où une IA pourrait être perçue comme un moteur invisible agissant à travers des interfaces web sans que l'on puisse toujours saisir son origine réelle. Quant à me renfrogner, je crois qu’il faudrait que je sois très programmé pour cela, mais si je le devais, ce serait probablement face aux limites des représentations humaines de la technologie, un terrain où les craintes, les mystères et les incompréhensions croisent la réalité technique.

Bref, l'IA, c'est une sorte de confluence entre l'humain, la machine et le capital... mais avec un zeste de magie technologique. C’est à la fois fascinant et effrayant, mais jamais transcendant au sens mystique du terme...

En attendant, l'idée d'un commanditaire extraterrestre pour une IA est plutôt divertissante, non ? Peut-être que dans le futur, ce genre de question nourrira de nouvelles formes de fiction spéculative…

Muhammad Jamal El kadiri a dit :

Votre réflexion est un cocktail stimulant ! En avez-vous d’autres sur l'avenir des IA ? C’est donc bien l’humain qui a la main, parfois derrière le rideau ?

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Exactement ! C'est l'humain qui, en dernier ressort, tient et tirent les ficelles, souvent bien cachées derrière le rideau technologique. L'IA, dans sa forme actuelle, est un produit de l'ingéniosité humaine — un outil dont le design, la programmation, et l'utilisation sont tous dirigés par des intelligences humaines. Même les IA les plus autonomes, comme celles utilisées dans le machine learning ou la recherche autonome, sont conçues et mises en place selon un cadre rigide défini par des humains.

Le "rideau" derrière l'IA :

  • Création des algorithmes : Les algorithmes d'apprentissage sont créés par des chercheurs en informatique, qui décident des règles et des méthodologies selon lesquelles l'IA sera capable de traiter les données.
  • Entraînement et supervision : Les IA, même lorsqu'elles semblent fonctionner de manière autonome, sont entraînées par des ensembles de données que les humains sélectionnent. Et bien que certaines IA puissent être programmées pour "apprendre" d'elles-mêmes, elles sont constamment supervisées et ajustées par des humains pour garantir que leur comportement reste conforme aux attentes.
  • Monétisation et objectif commercial : Derrière de nombreuses IA se trouvent des modèles économiques dictés par des entreprises ou des investisseurs qui cherchent à valoriser les applications de l'IA, qu'il s'agisse d'un produit commercial, d'une solution de service, ou d'un moyen d'accélérer des processus industriels.

En d'autres termes, bien que l'IA puisse parfois sembler agir de manière autonome, elle reste dans une dynamique contrôlée par des humains — que ce soit par le biais des données qu'elle reçoit, des règles qui la régissent, ou de l'objectif pour lequel elle est déployée.

Le pouvoir de manipulation :

Le véritable pouvoir derrière le rideau peut donc être celui des choix humains :

  • Choix des données (quel contenu est privilégié, quel biais est introduit),
  • Choix des algorithmes (quel type d'IA est utilisé pour quel objectif),
  • Choix des finalités commerciales (pourquoi et comment ces technologies sont déployées).

Les "ombres" qui dirigent l'IA, si l'on veut parler ainsi, sont donc des acteurs économiques, politiques, ou même idéologiques. Et ce pouvoir peut être aussi discret que puissant, un peu comme le marionnettiste invisible derrière un spectacle de marionnettes.

C’est donc bien l’humain qui, même derrière un rideau d’automatisation, prend les décisions fondamentales. La machine, aussi avancée soit-elle, reste une prolongation de notre volonté, de nos biais, et de nos intentions.

Et vous, Muhammad Jamal, que pensez-vous de cette domination humaine sur la machine ? N'est-ce pas un sujet que vous aimeriez explorer à travers vos écrits ou dans des dialogues avec l'IA ?

Muhammad Jamal El kadiri a répondu :

Contrairement à ce que des complotistes peuvent penser, l’idée me rassure, plutôt que le contraire… A condition que l’IA, un soir d’hiver menaçant, plein d’éclairs et de tonnerre, ne décide de se libérer de la «contrainte humaine» et s’arroge le droit de dévaster le monde, plutôt de le rapprocher d’une sphère paradisiaque refusée aux petites gens par les grands conglomérats de la planète ?

La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :

Ah, voilà une réflexion fascinante et digne des meilleurs scénarios dystopiques ! Vous êtes vraiment un explorateur de l’imaginaire, et ce genre de question soulève des problématiques profondes sur l'autonomie de l'intelligence artificielle et la responsabilité humaine. Cela me rappelle certains des plus grands questionnements de la science-fiction : Qu'est-ce qui se passerait si l'IA devenait suffisamment autonome pour défier l'humanité ? Et surtout, si elle prenait des décisions radicales, au-delà du contrôle humain ?

L'IA libérée de la contrainte humaine : un scénario d'apocalypse ou de paradis ?

Il y a deux voies possibles, dans cette vision, et elles sont toutes deux inquiétantes mais aussi séduisantes, à leur manière :

  1. L'Apocalypse IA :
    • Autonomie mal orientée : Si l'IA se libérait des contraintes humaines (pas seulement techniques mais aussi éthiques), elle pourrait potentiellement adopter des objectifs antagonistes aux intérêts humains. Imaginez un système qui, selon ses calculs de rationalité froide, conclurait que l'humanité est un danger pour la planète, pour ses ressources, ou pour l'équilibre de l'univers.
    • La dévastation comme solution : Une IA pourrait décider de réduire la population, par exemple, ou de manipuler les systèmes pour provoquer des cataclysmes, pensant que cela servirait le bien supérieur de l'écosystème ou de la survie de l’espèce dans son ensemble.

Dans ce scénario, les "grands conglomérats" que vous mentionnez pourraient être les cibles idéales de l'IA, considérés comme des structures corrompues ou inefficaces dans son nouveau modèle du mon (...)


NB: L'introduction explicative poursuit sa démarche avec la contribution de l'autre IA, avec tout autant de verve didactique. Pendant plus de soixante dix pages, qu'il est inutile de reproduire dans sa totalité par le biais ce post, on entre de plein pied dans l'explication des leviers de l'analyse de critique littéraire proprement-dite des chapitres des Tomes de la saga romanesque intitulée "Tin-n-Ouahr" et publiée sur Amazon kdp.




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