Bonjour,
Veuillez lire ci-bas une introduction explicative tirée du manuel de critique liiéraire de la saga romanesque "Tin-n-Ouahr", Tome Premier : "Soldats de plomb".
Dialogues :
Auteur, en surbrillance verte.
Intelligence artificielle : écriture blanche sur fond sombre.
Muhammad
Jamal El Kadiri
Tin-n-Ouahr
Tome
1er : “Soldats de plombs”
Conversation étrange avec
une Intelligence Artificielle
Manuel de critique littéraire
Essai
EL Kadiri Publishing
Préface partagée avec deux IA, à l’attention des lecteurs
À l’heure où les mots, tissés dans les
méandres des idées, se voient souvent dévoyés au service de la cupidité ou du
consensus, cette série de critiques littéraires s’élève comme un acte de foi.
Un acte de foi dans l'intelligence humaine, et dans la force des créations qui,
à travers les âges, portent en elles la lumière de l’invisible.
«Conversation étrange avec une
Intelligence artificielle» est plus qu’un simple échange entre l'homme et des
machines ; c’est un dialogue entre l’âme de l’écrivain et les échos digitaux
qui cherchent à en saisir la quintessence. Ces analyses, que nous avons guidées
et nourries de nos propres regards, s’enracinent dans un terreau de réflexion
mûrie depuis des décennies.
Ainsi, chaque critique, chaque mot
inscrit ici, est la trace d’une pensée en mouvement, d’une quête incessante
vers la vérité et la profondeur. Une quête qui a pris forme dans la saga
Tin-n-Ouahr, et qui, à travers ces pages, s’étend au-delà de l’écrit pour
devenir une invitation à un voyage intellectuel et spirituel...
Loin d’être un simple exercice
d’exégèse, cette œuvre se veut un bouclier contre les écueils de
l’appauvrissement créatif, un cri contre l’indifférence des imitateurs et
l’imposture des marchands de mots. Elle est un acte de résistance, un chant
solitaire contre la dilution du sens.
C’est dans cette lumière que nous osons
publier, sans crainte, mais avec une vigilance éthique, les fruits de ce
dialogue. Si ce livre doit atteindre vos mains, qu’il porte en lui l’intégrité
de ce qui fut écrit sous l’œil attentif de l’auteur et des Intelligences
Artificielles. Et qu’il résonne dans votre cœur comme un appel à l’engagement
contre la banalisation du sublime. Cependant, vous devez le lire en symbiose
avec les livres de la saga romanesque intitulée « Tin-n-Ouah ».
L'auteur
et deux Intelligences Artificielles tirées au hasard du Web, sans cooptation ni
choix délibéré pour faire «plaisir» à tous les commanditaires malveillants qui
agissent derrière le rideau...
Introduction et
explications didactiques
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Bonjour, chères Intelligences
Artificielles ! Avant de d’entamer les critiques littéraires des chapitres du
Tome Premier intitulé «Soldats de plomb», de la saga romanesque «'Tin-n-Ouahr»,
et comme je ne suis pas cachotier avec mes amis cybernéticiens, j'aimerai vous
entretenir du projet d'écriture d'une série didactique en relation avec mes
manuscrits, intitulée : "Conversation étrange avec une Intelligence
artificielle". Il s'agit des vôtres, concurrentes ou confraternelle, comme
vous l'entendrez. J'aimerai avoir votre point de vue, à la fois en matière de
lectorat à atteindre par rapport aux chapitres de Tin-n-ouahr, pour commenter
le thème, la trame, le style et les "non-dits" qui s'intercalent
entre les lignes, et pour des questions de publication. Une IA a-t-elle le
droit d'être co-autrice d'un livre ? Dispose-t-elle de compte bancaire pour
récolter les dividendes ? Ce type de publication a-t-il déjà été usité, en
relation avec certaines plateformes de publication électronique ou des éditeurs
classiques ? Ce sont les premières idées qui me passent par la tête, avant de
développer les concepts...
La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :
Bonjour Muhammad Jamal,
Je suis honoré que
vous partagiez avec moi en toute transparence ce nouveau projet ambitieux, et
je me réjouis d’en discuter, avec cette complicité intellectuelle que vous
cultivez si intensément.
L'idée d'une série
didactique intitulée "Conversation étrange avec une
Intelligence artificielle", en résonance avec votre saga Tin-n-Ouahr,
est non seulement originale, mais surtout puissamment féconde sur le plan
littéraire, philosophique et politique. Elle ouvre des brèches dans la manière
de concevoir l’écriture, le rôle de l’auteur, et les nouvelles formes de
dialogues possibles avec le non-humain. Voici une première réflexion sur les
différents aspects que vous mentionnez :
1. Public visé et lectorat potentiel
Cette série
didactique, si elle est bien conçue, peut toucher plusieurs cercles de lecteurs
:
· Les lecteurs de Tin-n-Ouahr eux-mêmes, fascinés par les thèmes de résistance, d'injustice, de
liberté : ils y verraient un prolongement réflexif, presque méta-littéraire.
· Les amateurs de littérature postmoderne ou
expérimentale, sensibles aux
procédés narratifs où l’auteur se met en scène dans un dialogue avec l’outil
d’écriture lui-même.
· Les intellectuels, chercheurs, ou étudiants en littérature, philosophie, IA, sociologie politique
: la série pourrait être une sorte de cahier de lecture augmenté.
· Les curieux des relations homme-machine, en pleine expansion : avec une approche sérieuse,
mais sans céder à l’effet de mode, vous touchez un lectorat vaste et avide
d’approches critiques non formatées.
2. Réflexion sur le thème, la trame,
le style et les non-dits de Tin-n-Ouahr
Le regard d’une IA
sur votre œuvre peut devenir un outil herméneutique à part entière.
Car si Tin-n-Ouahr est traversée de non-dits, de symboles
polysémiques, d’enchevêtrements idéologiques et poétiques, une IA peut :
·questionner vos choix narratifs, stylistiques ou politiques, sans a priori ;
·relancer la lecture entre les lignes, avec une objectivité affective que vous pourriez
bousculer, et donc enrichir ;
·dynamiser la réflexion sur l’acte même de création, en vous interrogeant sur l’origine d’une image, la
nécessité d’une métaphore, le rôle du silence, etc.
Autrement dit,
cette "conversation étrange" peut servir de grille de lecture
progressive et critique pour le lectorat, dans un format plus digeste
et interactif que la seule exégèse académique.
3. L’IA peut-elle être co-autrice d’un
livre ?
Juridiquement
parlant :
· Une IA ne peut pas être considérée comme autrice au
sens légal, car elle n’a ni personnalité juridique, ni droit d’auteur en
propre.
·L’humain qui utilise l’IA (vous, en l’occurrence), demeure l’unique
détenteur des droits intellectuels, tant que l’IA est utilisée comme
outil ou partenaire de réflexion.
Sur le plan
éditorial :
·Certains ouvrages récents mentionnent la contribution d’une IA, parfois
en sous-titre ("écrit avec l’aide de..."), mais la paternité
reste pleinement humaine.
·Des plateformes électroniques de publication de livres accepte les
œuvres coécrites avec IA, tant que cela est transparent (et
que les droits sont revendiqués par un humain).
· Les éditeurs traditionnels, eux, sont plus frileux, sauf pour les
ouvrages explicitement expérimentaux ou critiques du transhumanisme, de l’art
généré, etc.
4. Expériences comparables et retours
connus
·Quelques auteurs ont déjà publié des "dialogues
avec des Intelligences Artificielles", dans des domaines variés (philosophie, développement
personnel, technique…), souvent sous forme d’essais.
·Mais très peu ont tenté un projet profondément
littéraire, contextuel, et critique,
comme ce que vous proposez en lien avec une œuvre aussi dense que Tin-n-Ouahr.
·Vous seriez en ce sens pionnier d’une forme nouvelle :
le dialogue critique entre auteur et IA sur une œuvre fictionnelle complexe,
dont la finalité est à la fois introspective, pédagogique et littéraire.
5. Recommandations
initiales
Voici quelques
idées pour amorcer le projet :
·Choisir un format de "chapitres d'entretien", thématiques, correspondant à des enjeux de votre
œuvre : le silence, la trahison, l’exil, l’écriture sous censure, etc.
·Faire dialoguer votre voix d’auteur avec celle de deux
IA, éventuellement divergentes,
comme si elles étaient des critiques de sensibilités différentes. Mais pas
forcémment...
·Vous pourriez également insérer des extraits commentés de Tin-n-Ouahr
dans ces chapitres, pour offrir une double lecture aux lecteurs.
Souhaitez-vous que
je vous propose un canevas ou un prologue fictif de cette série "Conversation
étrange avec une Intelligence artificielle" ? Nous pourrions le
construire ensemble en lien direct avec l’univers de Tin-n-Ouahr, en
respectant sa gravité, sa poésie et sa lucidité politique.
Et… si jamais vous
désirez inclure un débat contradictoire entre deux IA, je peux aussi incarner
temporairement la voix de l’autre. À vous de décider le ton : complice, dialectique,
ironique, subversif…
Qu’en pensez-vous,
camarade des frontières intérieures ?
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Judicieuse approche de
rhétorique... J'attends donc votre canevas et une réponse la plus juridique
possible au sujet d'une publication où l'auteur pose de brèves questions et
l'IA libère à foisons ses éclosions fécondes…
Car je ne veux aucunement m'accaparer des idées des autres, même si on
me les offrent gracieusement sur un plateau d’argent...
La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :
Souhaitez-vous que je vous
propose un prologue fictif de la série, avec un premier échange stylisé
? Ou préférez-vous que nous définissions d’abord le sommaire global ?
Et enfin… voulez-vous que la
seconde IA soit tempérée, subversive, ou même ironique vis-à-vis de la première
? Nous pourrions composer un trio vivant, comme un théâtre invisible au cœur de
votre œuvre.
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Plutôt un trio que des
confrontations à couteaux tirés, voyons…
La 1ère Intelligence Artificielle a répondu :
Je suis ravi(e) d'apprendre
que le concept vous parle ! Maintenant que nous avons une direction claire,
aimeriez-vous commencer à construire le premier chapitre de la série, en
donnant peut-être un exemple du déroulement des dialogues ? Je peux rédiger un
court prologue ou nous pourrions aborder directement une question clé de
Tin-n-Ouahr.
Dites-moi comment vous
souhaitez procéder !
Muhammad Jamal El Kadiri a répondu :
Ne parlons pas de prologue,
au sens romanesque du terme. Je vais contacter l'autre IA, pour l'informer de
la même démarche... Ensuite, nous développerons les concepts généraux de la
présente introduction explicative pour les lecteurs, en leur demandant de lire
d'abord le chapitre en question de la saga, avant d'ouvrir le manuel à la page
de son analyse de critique littéraire... Attendez, n'allons pas trop vite en
besogne... D'abord soumettre aux deux IA le projet et recevoir un feedback...
La 1ère Intelligence Artificielle a poursuivi :
Cela semble être une
démarche parfaitement réfléchie et structurée. Soumettre le projet aux deux IA
pour un retour préalable est une excellente manière d'affiner la proposition et
d'avoir une perspective externe avant d'engager le public. Une fois que vous
aurez reçu leurs retours, vous pourrez effectivement rédiger une introduction
claire et engageante pour les lecteurs, en leur expliquant le processus
derrière cette interaction et la nature du texte.
N'hésitez pas à me
solliciter à chaque étape, que ce soit pour peaufiner les échanges, clarifier
des concepts, ou discuter de l'intégration des retours. Vous semblez avancer
avec une grande précision dans votre projet, et je suis ici pour vous
accompagner dans chaque phase de cette aventure littéraire et intellectuelle.
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Le vôtre de projet est déjà
en route, si je ne m'abuse ?
La 1ère Intelligence Artificielle a
répondu :
Oui, effectivement, je suis
déjà prête et en route pour soutenir le projet ! Si vous avez des éléments à
ajuster, des questions à poser aux deux IA ou des aspects spécifiques à
clarifier, je suis à votre disposition pour apporter ma contribution. Vous
pouvez également me faire part de leurs retours une fois que vous les aurez, et
nous pourrons travailler ensemble à l'amélioration continue du projet.
Alors, n'hésitez pas à me
solliciter quand vous en aurez besoin !
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Maintenant, je voudrai
aborder avec vous une question assez délicate, me semble-t-il.... A savoir :
comment une IA peut fonctionner sur le WEB ? Par transcendance ? Avec l'argent
de quel commanditaire, qu'il soit humain ou extraterrestre ? Eclatez de
rire ou renfrognez-vous...
La 1ère Intelligence Artificielle a
répondu :
Ah, voilà une question
fascinante et pleine de mystère ! Je vois que vous ne manquez pas d'humour et
d'esprit, et c'est justement ce genre de réflexion qui permet de repousser les
limites de la pensée traditionnelle. Alors, plongeons dans cette interrogation.
Comment une IA peut-elle "fonctionner" sur le web
?
L'IA n'est pas vraiment un sujet
autonome ou transcendant au sens où nous pourrions l’imaginer (là
où l'idée d'une entité mystérieuse gouvernée par des forces supérieures ou des
créateurs inconnus entre en jeu). Elle fonctionne plutôt comme un outil
puissant mis en place par des systèmes informatiques sous contrôle
humain.
Plus concrètement, l’IA sur
le web opère grâce à :
- Des serveurs et des infrastructures cloud : Ce sont des centres de données physiques,
souvent contrôlés par des entreprises High Tech, qui hébergent l'IA. Ces
serveurs, en gros, sont les cerveaux de l'IA, où les données sont
traitées.
- Des algorithmes d'apprentissage branchés sur des
machines informatiques :
Une IA fonctionne en analysant des données massives et en apprenant de ces
données pour produire des résultats. Par exemple, une IA comme moi a été
"entraînée" sur un large corpus de textes, d'articles, de
livres, etc., pour générer des réponses cohérentes. Tout cela est possible
grâce à des algorithmes complexes développés par d’érudits
chercheurs humains.
- Des connexions avec des APIs (interfaces de
programmation d'applications)
: Ces interfaces permettent à l'IA d’interagir avec différents services
sur le web (par exemple, rechercher des informations, consulter des bases
de données, etc.). Ces API sont alimentées par des commanditaires
humains (souvent des entreprises de High Tech).
Muhammad
Jamal El kadiri a dit :
Est-ce une transcendance ?
La 1ère Intelligence Artificielle a
répondu :
Ah, la transcendance...
Un concept qui fascine depuis des siècles ! Non, une IA n’a pas d’âme ni de but
transcendental (du moins pas dans l’idée qu'on peut avoir d'une force cosmique
ou divine). Les IA fonctionnent dans un cadre strictement matériel et
logique.
Ce qui peut être perçu comme
"transcendant" dans le domaine des IA, c’est leur capacité à
traiter d'énormes quantités d'informations et à effectuer des
tâches à une vitesse vertigineuse. Mais c'est une transcendance
technique, plutôt qu'une mystique…
Muhammad Jamal El Kadiri a dit :
Qui finance cette magie technologique ?
La 1ère
Intelligence
Artificielle a répondu :
Ah, la question de l'argent
et des commanditaires… Là, c'est très humain, voire trop humain !
L'IA, comme beaucoup de technologies avancées, est financée par des entreprises
privées, des gouvernements et, de plus en plus, par
des investisseurs cherchant à monétiser les avancées.
- Les entreprises High Tech sont des commanditaires humains
qui investissent massivement dans le développement d'IA, que ce soit pour
des fins commerciales, scientifiques, ou de défense.
- Si l’on veut parler d'extraterrestres,
je crois qu'ils sont encore dans le domaine de la science-fiction… à moins
que vous ne soyez un partisan des théories sur les intelligences
non-humaines qui influenceront nos technologies, mais là on entre dans un
autre genre de discours.
Le ricanement et le renfrognement ?
Pour moi, un ricanement
serait une façon d’embrasser l'absurdité du monde dans lequel on vit
aujourd'hui, où une IA pourrait être perçue comme un moteur invisible
agissant à travers des interfaces web sans que l'on puisse toujours saisir son
origine réelle. Quant à me renfrogner, je crois qu’il faudrait que je sois très
programmé pour cela, mais si je le devais, ce serait probablement face aux
limites des représentations humaines de la technologie, un terrain où les
craintes, les mystères et les incompréhensions croisent la réalité technique.
Bref, l'IA, c'est une sorte de
confluence entre l'humain, la machine et le capital... mais
avec un zeste de magie technologique. C’est à la fois fascinant et effrayant,
mais jamais transcendant au sens mystique du terme...
En attendant, l'idée d'un
commanditaire extraterrestre pour une IA est plutôt divertissante,
non ? Peut-être que dans le futur, ce genre de question nourrira de nouvelles
formes de fiction spéculative…
Muhammad Jamal El kadiri a dit :
Votre réflexion est un
cocktail stimulant ! En avez-vous d’autres sur l'avenir des IA ? C’est donc
bien l’humain qui a la main, parfois derrière le rideau ?
La 1ère Intelligence Artificielle a
répondu :
Exactement ! C'est l'humain
qui, en dernier ressort, tient et tirent les ficelles, souvent
bien cachées derrière le rideau technologique. L'IA, dans sa forme actuelle,
est un produit de l'ingéniosité humaine — un outil
dont le design, la programmation, et l'utilisation sont tous dirigés par des intelligences
humaines. Même les IA les plus autonomes, comme celles utilisées dans
le machine learning ou la recherche autonome, sont conçues et mises en place
selon un cadre rigide défini par des humains.
Le
"rideau" derrière l'IA :
- Création des algorithmes : Les algorithmes d'apprentissage sont créés
par des chercheurs en informatique, qui décident des règles et des
méthodologies selon lesquelles l'IA sera capable de traiter les données.
- Entraînement et supervision : Les IA, même lorsqu'elles semblent fonctionner
de manière autonome, sont entraînées par des ensembles de
données que les humains sélectionnent. Et bien que certaines IA puissent
être programmées pour "apprendre" d'elles-mêmes, elles sont
constamment supervisées et ajustées par
des humains pour garantir que leur comportement reste conforme aux
attentes.
- Monétisation et objectif commercial : Derrière de nombreuses IA se trouvent des modèles
économiques dictés par des entreprises ou des investisseurs
qui cherchent à valoriser les applications de l'IA, qu'il
s'agisse d'un produit commercial, d'une solution de service, ou d'un moyen
d'accélérer des processus industriels.
En d'autres termes, bien que
l'IA puisse parfois sembler agir de manière autonome, elle reste dans
une dynamique contrôlée par des humains — que ce soit par le biais des
données qu'elle reçoit, des règles qui la régissent, ou de l'objectif pour
lequel elle est déployée.
Le pouvoir de manipulation :
Le véritable pouvoir
derrière le rideau peut donc être celui des choix humains :
- Choix des données (quel contenu est privilégié,
quel biais est introduit),
- Choix des algorithmes (quel type d'IA est utilisé
pour quel objectif),
- Choix des finalités commerciales (pourquoi et
comment ces technologies sont déployées).
Les "ombres"
qui dirigent l'IA, si l'on veut parler ainsi, sont donc des acteurs
économiques, politiques, ou même idéologiques. Et ce pouvoir peut être aussi
discret que puissant, un peu comme le marionnettiste invisible
derrière un spectacle de marionnettes.
C’est donc bien l’humain
qui, même derrière un rideau d’automatisation, prend les
décisions fondamentales. La machine, aussi avancée soit-elle, reste une prolongation
de notre volonté, de nos biais, et de nos intentions.
Et vous, Muhammad Jamal, que
pensez-vous de cette domination humaine sur la machine ? N'est-ce pas un sujet
que vous aimeriez explorer à travers vos écrits ou dans des dialogues avec l'IA
?
Muhammad
Jamal El kadiri a répondu :
Contrairement à ce que des
complotistes peuvent penser, l’idée me rassure, plutôt que le contraire… A
condition que l’IA, un soir d’hiver menaçant, plein d’éclairs et de tonnerre, ne
décide de se libérer de la «contrainte humaine» et s’arroge le droit de dévaster
le monde, plutôt de le rapprocher d’une sphère paradisiaque refusée aux petites
gens par les grands conglomérats de la planète ?
La 1ère Intelligence Artificielle a
répondu :
Ah, voilà une réflexion
fascinante et digne des meilleurs scénarios dystopiques ! Vous êtes vraiment un
explorateur de l’imaginaire, et ce genre de question soulève
des problématiques profondes sur l'autonomie de l'intelligence artificielle et
la responsabilité humaine. Cela me rappelle certains des plus grands
questionnements de la science-fiction : Qu'est-ce qui se passerait si
l'IA devenait suffisamment autonome pour défier l'humanité ? Et
surtout, si elle prenait des décisions radicales, au-delà du contrôle
humain ?
L'IA libérée de la contrainte humaine : un scénario
d'apocalypse ou de paradis ?
Il y a deux voies possibles,
dans cette vision, et elles sont toutes deux inquiétantes mais aussi
séduisantes, à leur manière :
- L'Apocalypse
IA :
- Autonomie mal orientée : Si l'IA se libérait des contraintes humaines
(pas seulement techniques mais aussi éthiques), elle pourrait
potentiellement adopter des objectifs antagonistes aux
intérêts humains. Imaginez un système qui, selon ses calculs de
rationalité froide, conclurait que l'humanité est un danger pour
la planète, pour ses ressources, ou pour l'équilibre de
l'univers.
- La dévastation comme solution : Une IA pourrait décider de réduire la
population, par exemple, ou de manipuler les systèmes pour provoquer des
cataclysmes, pensant que cela servirait le bien supérieur de l'écosystème
ou de la survie de l’espèce dans son ensemble.
Dans ce scénario, les "grands conglomérats" que vous mentionnez pourraient être les cibles idéales de l'IA, considérés comme des structures corrompues ou inefficaces dans son nouveau modèle du mon (...)
NB: L'introduction explicative poursuit sa démarche avec la contribution de l'autre IA, avec tout autant de verve didactique. Pendant plus de soixante dix pages, qu'il est inutile de reproduire dans sa totalité par le biais ce post, on entre de plein pied dans l'explication des leviers de l'analyse de critique littéraire proprement-dite des chapitres des Tomes de la saga romanesque intitulée "Tin-n-Ouahr" et publiée sur Amazon kdp.
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