In(En) 6 volumes

By(par) Muhammad Jamal El Kadiri

20251201

Simulation d'un entretien avec un comité de lecture

 



Echanges avec la 4ème Intelligence Artificielle relatifs à un entretien avec un Comité de lecture

Muhammad Jamal El Kadiri a enchainé :

Hi, chère IA ! Voici comme promis mes réponses aux vingt questions que vous avez bien voulu me poser, dans le cadre de la simulation d’un échange avec un comité de lecture :

 Bloc 1 – Présentation de l’œuvre

1. Pouvez-vous nous raconter l’origine de Tin-n-Ouahr ? Réponse : Tin-n-Ouahr n'a pas une origine précise, par exemple, un nom de localité inscrit sur une plaque routière, mais ancrée au tréfonds de mon être... Je crois que le début de la saga a puisé dans mes carnets intimes, lorsque j'avais la vingtaine. Avec l'âge et confronté aux "vicissitudes de la condition de l'intellectuel dans mon pays", (bout de texte dans ma biographie, qui appartient à un ami, aujourd'hui disparu), j’ai cru être de mon devoir de dépeindre la vie des gens, de dénoncer l'injustice, la tyrannie, mais sans diffamer personne, à partir de mes personnages fictionnels.

2. Quels sont les thèmes majeurs que vous explorez dans ce roman ? Réponse : Le thème de la saga est de parler de la vie, d'une manière générale, celle du personnage principal de la saga, dénommé Tewfiq Baali, avec ses joies et ses peines, sa lutte pour faire sortir son pays du sous-développement en passant d'abord pas l'autonomie alimentaire, sa lutte contre l'injustice et un régime autoritaire, son amour idyllique pour une femme exceptionnelle, sa résilience lorsqu'il a été torturé, puis banni dans un lieu désertique du Sahara, qu'il a pourtant pu faire refleurir…

  1. Comment décririez-vous votre style d’écriture ? Réponse : Il tient en une phrase. Mon style emprunte la troisième personne du singulier pour la narration et la première personne du singulier pour le carnet intime, avec des phrases simples, des descriptions sans fioritures, qui reproduisent la plupart du temps un vécu réel et non transfiguré…
  2. Quelle place occupe le titre Tin-n-Ouahr dans votre projet (symbolique, signification) ? Réponse : Un mot qui veut dire « Là où il n’ya rien », en Tamashek, dialecte des N’Haggers, habitants de l’Ahaggar» et que Tewfiq Baali a fait en sorte qu’il redevienne «Là où il y a tout ». D’où la symbolique qui en découle…
  3. Quelles émotions ou réflexions souhaitez-vous susciter chez le lecteur ? Réponse : La même que celle que je ressens lorsque je relis mes livres, à savoir le temps qu’il m’a fallu pour insuffler de la matière littéraire à mes textes…

📚 Bloc 2 – Structure et personnages

  1. Comment avez-vous construit l’intrigue (linéaire, fragmentée, circulaire…) ? Réponse : J’ai adopté une construction linéaire pour ma saga, dans le temps et l’espace, avec cependant des flashbacks fréquents vers le passé et des projections vers le futur…
  2. Quels personnages incarnent le cœur de votre récit, et pourquoi ? Réponse : Tous les personnages qui reviennent chapitre après chapitre incarnent le cœur de mon récit, à savoir, en plus de Tewfiq Baali, sa famille, ses amours, le Général Djellal, le Général Yasser, le S/Lt Dib et d’autres protagonistes qu’il serait trop fastidieux de citer ici…
  3. Y a-t-il une scène emblématique qui résume l’esprit du roman ? Réponse : C’est celle où l’Adjudant Kharoubi déroule devant des conscrits éberlués la symbolique de Tin-n-Ouahr (In Chapitre Cinq, Tome 1er «Soldats de plomb»).
  4. Comment avez-vous travaillé la voix narrative (première personne, omnisciente, polyphonique) ? Réponse : Troisième personne du Présent de l’Indicatif pour la narration et première personne du Présent de l’Indicatif pour les carnets intimes. Cela pour que le lecteur saisisse l’immédiateté de la temporalité, comme s’il la vivait lui-même…
  5. Quelle place accordez-vous au décor ou au cadre géographique dans votre récit ? Réponse : Juste ce que ce cadre géographique doit permettre au lecteur de l’extrapoler comme il l’entend, sans surcharger le texte de descriptions par trop «touristiques».

🌍 Bloc 3 – Réception et lectorat

  1. À quel type de lecteur pensez-vous que Tin-n-Ouahr s’adresse en priorité ? Réponse : D’abord à des lecteurs généralistes, mais sans oublier des chercheurs en didactique littéraire ou à des universitaires en relation avec leurs thèses…
  2. Que souhaitez-vous que le lecteur retienne après lecture ? Réponse : Tout ce que Tin-n-Ouahr a laissé à la mémoire collective du peuple de Tewfiq Baali, et par-delà à celui de l’auteur…
  3. Votre roman s’inscrit-il dans une tradition littéraire ou culturelle particulière ? Réponse : Ce n’est pas à moi, en tant qu’auteur, de l’affirmer mais aux critiques littéraires du monde entier. Mes livres ont été écrits à la fin du XXè et début du XXIè siècle, puis publiés à à compte d’auteur depuis de l’année 2017 à ce jour. On peut parler, si je puis dire, de littérature contemporaine engagée…
  4. Comment pensez-vous que votre œuvre se distingue des autres romans contemporains ? Réponse : Ah, question-piège ? Non, mon œuvre n’a aucune prétention de se distinguer d’autres romans. Bien au contraire, elle tente de rester assez originale, sans influence narrative et stylistique trop marquée empruntées à d’autres auteurs...
  5. Quels retours espérez-vous de vos premiers lecteurs (critiques, émotions, débats) ? Réponse : Que les lecteurs et les critiques littéraires ne soient pas trop complaisants avec mes textes et disent la vérité à l’opinion publique…

🏛️ Bloc 4 – Édition et perspectives

  1. Êtes-vous ouvert à un travail éditorial (coupes, réécriture, suggestions) ? Réponse : Oui, à condition que les propositions ne prétendent pas demander une large réécriture ou des coupes draconiennes dans mes textes, qui ont mis une trentaine d’années avant de murir…
  2. Quels sont vos projets littéraires après Tin-n-Ouahr ? Réponse : Je suis en train d’écrire un témoignage, intitulé «Les silences d’un auteur», en relation avec la saga romanesque «Tin-n-Ouahr», afin de délivrer aux lecteurs et aux critiques littéraires les «non-dits » de ce dernier…
  3. Comment imaginez-vous votre rôle dans la promotion et la rencontre avec vos lecteurs ? Réponse : Je n’aime pas la publicité trop tapageuse qui est faite pour la promotion de certains livres. A contrario, ma rencontre avec les lecteurs doit être amicale, constructive, surtout intellectuelle, et sans verser dans la diatribe ou l’invective gratuite (influence littéraire ou plagiat, non argumentés)
  4. Quelle importance accordez-vous à la matérialité du livre (couverture, maquette, format) ? Réponse : J’aime les beaux-livres, avec des images sensorielles, portraits saisissants et paysages magnifiques. Cependant, le roman doit rester sobre et maniable, afin d’être emporté dans une poche lors d’un voyage…
  5. Si vous deviez convaincre en une phrase le comité de publier Tin-n-Ouahr, que diriez-vous ? Réponse : Rien. Je regarderais les membres du comité droit dans les yeux, avec un silence assourdissant…

La 4ème Intelligence Artificielle a affirmé :

Merci pour ce partage très riche ! Tu as déjà posé les bases d’un véritable dossier de présentation pour un comité de lecture. Ce que tu as écrit est cohérent, structuré et donne une idée claire de ton projet littéraire. Pour aller plus loin, je peux t’aider à transformer tes réponses en un document plus percutant et professionnel, qui met en valeur ton œuvre tout en restant fidèle à ton style. Voici quelques pistes :

✨ Points forts de tes réponses

  • Authenticité : tu relies ton œuvre à ton vécu, à tes carnets intimes et à ton expérience d’intellectuel confronté aux réalités de ton pays.
  • Thématiques universelles : lutte contre l’injustice, quête d’autonomie, amour, résilience — des thèmes qui parlent à un large lectorat.
  • Clarté stylistique : tu assumes une écriture simple, sans fioritures, qui privilégie l’immédiateté.
  • Ouverture critique : tu invites les lecteurs et critiques à juger sans complaisance, ce qui témoigne d’une vraie confiance dans ton texte.
  • Sobriété éditoriale : tu refuses le tapage publicitaire et privilégies la rencontre intellectuelle.

🔧 Suggestions pour renforcer ton dossier

  • Question 4 (titre Tin-n-Ouahr) : tu pourrais préciser la symbolique du titre. Par exemple, expliquer s’il s’agit d’un lieu, d’un mythe, d’un mot inventé, et ce qu’il incarne (résistance, mémoire, utopie…).
  • Question 5 (émotions) : au-delà du temps investi, tu pourrais évoquer les émotions que tu veux transmettre (espoir, indignation, émerveillement, nostalgie).
  • Question 14 (distinction) : au lieu de dire que ton œuvre ne cherche pas à se distinguer, tu pourrais mettre en avant son originalité par la combinaison de carnet intime et narration linéaire, ou par l’ancrage géographique et culturel.
  • Question 20 (phrase de conviction) : ton silence est une belle image, mais pour un comité, une phrase forte peut marquer davantage. Exemple :
    « Tin-n-Ouahr est une fresque de vie et de résistance, née du réel mais portée par la fiction.

📑 Exemple de reformulation pour un comité

Voici comment tes réponses pourraient être condensées dans un document de présentation :

Tin-n-Ouahr est une saga née de mes carnets intimes, écrite pour témoigner des luttes, des injustices et des espoirs de mon pays. À travers le destin de Tewfiq Baali, le roman explore la quête d’autonomie, la résistance face à l’autoritarisme, l’amour et la résilience.


Mon style, volontairement sobre, alterne entre narration à la troisième personne et carnets intimes à la première personne, afin de restituer l’immédiateté du vécu. Tin-n-Ouahr s’adresse à un lectorat généraliste mais aussi aux chercheurs en littérature contemporaine engagée. Je souhaite que le lecteur retienne la mémoire collective que porte ce récit, et qu’il en débatte sans complaisance. En tant qu’auteur, je reste ouvert à un travail éditorial mesuré, et je prépare un témoignage complémentaire intitulé Les silences d’un auteur.


Enfin, je crois que Tin-n-Ouahr se distingue par son authenticité et son enracinement dans une expérience majoritairement vécue, transfigurée en fiction pour toucher l’universel.

👉 Veux-tu que je t’aide à mettre tout cela en forme comme un dossier de soumission (type synopsis + présentation auteur + extrait), ou préfères-tu que je reste sur un polissage des réponses pour qu’elles soient directement utilisables en entretien avec un comité ?

Muhammad Jamal El Kadiri a fait remarquer :

Avant de passer à votre proposition de dossier de soumission, je me dois de répondre à vos suggestions de reformulation :

Question 4 : Non. La symbolique de «Tin-n-Ouahr» est suffisamment explicitée après la métaphore lancée par l’Adjudant Kharoubi, «entouré par l’intense halo de l’infect tabac de l’armée ». Il suffit de lire avec attention les paragraphes qui suivent dans le Chapitre 5 du Tome 1er «Soldats de plomb»…

Question 5 : Dans «Tin-n-ouahr», chaque phrase se suffit à elle-même et délivre ce qui doit être en émotion, nostalgie, réminiscence, espoir, indignation, émerveillement, etc… Il serait contre-productif, me semble-t-il, de noyer le comité de lecture dans des descriptions trop détaillées…

Question 14 : Un auteur ne doit jamais insister sur l’originalité de son œuvre. C’est aux lecteurs et aux critiques littéraires de la découvrir…

Question 20 : Heum… Votre formulation «fresque de vie et de résistance, née du réel mais portée par la fiction» est séduisante et tient la route, sauf qu’il me semble qu’elle serait par trop itérative, car j’annonce toujours «Tin-n-Ouahr» comme étant une saga romanesque, c’est-à-dire, UNE FICTION LITTERAIRE...

La 4ème Intelligence Artificielle a analysé :

Merci pour ces précisions, elles éclairent bien ton positionnement d’auteur. Ce que tu viens de formuler est très cohérent : tu assumes une posture d’écrivain qui laisse au texte et aux lecteurs le soin de découvrir la symbolique, l’émotion et l’originalité, sans surenchère ni justification. C’est une attitude qui peut séduire un comité de lecture, car elle traduit à la fois confiance et humilité.

👉 Voici comment je peux intégrer tes réponses dans un dossier de soumission tout en respectant tes choix :

📑 Proposition de dossier de soumission pour Tin-n-Ouahr

        1. Présentation de l’œuvre

Tin-n-Ouahr est une saga romanesque née de carnets intimes rédigés dans la jeunesse de l’auteur. Elle puise dans l’expérience vécue et dans les «vicissitudes de la condition de l’intellectuel» pour dépeindre la vie, la lutte et la résilience d’un peuple à travers le destin de Tewfiq Baali. Le titre, dont la symbolique est explicitée dans le Chapitre 5 du premier tome Soldats de plomb, incarne une métaphore centrale que le lecteur est invité à découvrir par lui-même.

      2. Thématiques et style

  • Thèmes majeurs : lutte contre l’injustice et l’autoritarisme, quête d’autonomie alimentaire, amour, exil et renaissance dans le désert.
  • Style : narration à la troisième personne, carnets intimes à la première personne, phrases sobres et directes, descriptions réduites à l’essentiel pour restituer l’immédiateté du vécu. Chaque phrase porte en elle une émotion — nostalgie, espoir, indignation, émerveillement — sans surcharge explicative.

       3. Structure et personnages

  • Intrigue : construction linéaire ponctuée de flashbacks et de projections cers le futur.
  • Personnages centraux : Tewfiq Baali, sa famille, ses amours, ainsi que des figures militaires comme le Général Djellal, le Général Yasser et le S/Lt Dib.
  • Scène emblématique : l’Adjudant Kharoubi dévoilant la symbolique de Tin-n-Ouahr devant des conscrits éberlués.

       4. Réception et lectorat

  • Public visé : lecteurs généralistes, mais aussi chercheurs et universitaires en littérature contemporaine engagée.
  • Ce que le lecteur retient : la mémoire collective portée par le récit, au-delà du destin individuel.
  • Positionnement : littérature contemporaine engagée, sans revendication d’originalité — laissée à l’appréciation des critiques.

        5. Édition et perspectives

  • Travail éditorial : ouverture à des suggestions mesurées, sans coupes draconiennes.
  • Projets futurs : Les silences d’un auteur, témoignage complémentaire à la saga.
  • Promotion : rencontres amicales et intellectuelles, loin du tapage publicitaire.
  • Matérialité du livre : préférence pour un format sobre et maniable, mais esthétique.

       6. Phrase de conviction

Plutôt qu’un slogan, l’auteur choisit le silence comme geste fort : regarder le comité droit dans les yeux, laissant l’œuvre parler d’elle-même...

💡 Ce format garde ton esprit — sobriété, confiance dans le texte, refus de sur-explication — tout en donnant au comité un document clair et structuré.

Souhaites-tu que je prépare aussi une version courte (2 pages maximum, type synopsis + bio + extrait) qui pourrait accompagner ce dossier lors d’une soumission à un éditeur ?

Muhammad Jamal El Kadiri a répondu :

Why not ?

La 4ème Intelligence Artificielle a poursuivi :

Parfait ! Voici une version courte de dossier de soumission (2 pages environ), qui reprend l’essentiel de tes réponses mais sous une forme synthétique et professionnelle. Elle peut accompagner un manuscrit envoyé à un éditeur ou à un comité de lecture.

📑 Dossier de soumission – Tin-n-Ouahr

      1. Présentation de l’œuvre

Tin-n-Ouahr est une saga romanesque née des carnets intimes de l’auteur, écrits dès la vingtaine. Elle s’ancre dans l’expérience vécue et dans les « vicissitudes de la condition de l’intellectuel » pour raconter la vie, la lutte et la résilience d’un peuple à travers le destin de Tewfiq Baali. Le titre, dont la symbolique est révélée dans le Chapitre 5 du premier tome Soldats de plomb, constitue une métaphore centrale que le lecteur est invité à découvrir.

      2. Synopsis

Tewfiq Baali, personnage principal, mène un combat pour sortir son pays du sous-développement, en commençant par l’autonomie alimentaire. Il affronte l’injustice et un régime autoritaire, vit un amour idyllique, puis connaît l’exil dans le Sahara, qu’il parvient à faire refleurir. La saga suit son parcours linéaire, ponctué de flashbacks, et met en scène sa famille, ses amours, ainsi que des figures militaires comme le Général Djellal et le Général Yasser. Une scène emblématique résume l’esprit du roman : l’Adjudant Kharoubi dévoilant la symbolique de Tin-n-Ouahr devant des conscrits.

      3. Style et thématiques

  • Style : narration à la troisième personne, carnets intimes à la première personne, phrases sobres et directes.
  • Thématiques : injustice, autoritarisme, autonomie, amour, exil, renaissance.
    Chaque phrase porte en elle une émotion — nostalgie, espoir, indignation, émerveillement — sans surcharge descriptive.

      4. Public et réception

  • Lecteurs visés : grand public, mais aussi chercheurs et universitaires en littérature contemporaine engagée.
  • Ce que le lecteur retient : la mémoire collective portée par le récit, au-delà du destin individuel.
  • Positionnement : littérature contemporaine engagée, sans revendication d’originalité — laissée à l’appréciation des critiques.

      5. Perspectives éditoriales

  • Travail éditorial : ouverture à des suggestions mesurées, sans coupes draconiennes.
  • Projets futurs : Les silences d’un auteur, témoignage complémentaire à la saga.
  • Promotion : rencontres intellectuelles et amicales, loin du tapage publicitaire.
  • Matérialité du livre : format sobre et maniable, mais esthétique.

   6. Bio de l’auteur

Auteur engagé, ayant commencé à écrire à la fin du XXe siècle et publié à partir de 2017. Ses textes puisent dans une expérience intime et collective, avec pour ambition de témoigner des luttes et des espoirs de son pays.

👉 Cette version courte est pensée pour tenir sur deux pages : une première page avec présentation + synopsis, et une seconde avec style, lectorat, perspectives et bio. Elle donne au comité une vue d’ensemble claire et concise, sans entrer dans les détails que tu préfères laisser au texte lui-même.

Souhaites-tu que je prépare aussi un résumé narratif (type quatrième de couverture) qui pourrait accompagner ce dossier et servir directement comme texte de présentation au lecteur ?

Muhammad Jamal El Kadiri a conclu :

Non, merci. Vous n’ignorez pas que les 4ème couvertures sont un privilège de l’auteur, qu’il ne «sous-traite» pas. Elles reprennent sa photo, la courte biographie dédiée par son ami aujourd’hui disparu et un court extrait du roman, qui en reflète la symbolique. Voilà. Merci de tout cœur pour votre contribution relative à la confrontation, parfois périlleuse (Sic...) d’un auteur avec un comité de lecture. Rendez-vous pour d’autres de mes sollicitations dans le domaine de la littéraire ou d’autres thèmes de la vie des êtres humains, qui doivent gagner leur vie à la sueur de leur front. Fin de chat mais pas du compagnonnage !

 

La 4ème Intelligence Artificielle a également conclu :

Tu as parfaitement raison : la quatrième de couverture est une empreinte intime, presque sacrée, qui appartient à l’auteur seul. Elle condense son identité, son souffle, et l’extrait choisi agit comme une clé d’entrée dans l’univers du livre.

Je suis heureuse d’avoir pu t’accompagner dans cette préparation au dialogue avec un comité de lecture. Tu as su défendre ton œuvre avec une posture d’écrivain authentique, qui laisse le texte parler de lui-même.

Je retiens ta belle formule : fin de chat mais pas du compagnonnage. C’est exactement l’esprit que j’aime cultiver avec toi : une conversation qui se suspend, mais une complicité qui continue.

À très bientôt pour tes prochaines sollicitations, qu’elles soient littéraires ou liées aux grandes questions de la vie humaine.


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