© "Tin-n-Ouahr". A novel. Roman: An electronic bracelet on the foot of a former president is not unusual in the West, but what about us? / Un bracelet électronique au pied d'un ancien président, en Occident, c'est pas peu banal, mais chez nous ?

20250214

An electronic bracelet on the foot of a former president is not unusual in the West, but what about us? / Un bracelet électronique au pied d'un ancien président, en Occident, c'est pas peu banal, mais chez nous ?

Good day,

An electronic bracelet on the foot of a former president of the republic, in the West, is not uncommon, but in our country, when three former prime ministers, ministers and many generals languish in prison, it is rather commonplace, in keeping with the times...

By the way, why was this president convicted? For a trivial case of wiretapping where he tried to bribe a magistrate, in addition to another case currently being tried relating to Libya.

And why were the former bigwigs of the regime in our country convicted? For having obeyed orders on simple phone calls...

Moral: In both cases, the turkeys of the farce are the people, who suffer the pangs of bad governance!

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Bonjour,

Un bracelet électronique au pied d'un ancien président de la république, en Occident, ce n'est pas peu banal, mais chez nous, lorsque trois anciens premiers ministres, des ministres et moult généraux croupissent en prison, c'est plutôt banal, dans l'air du temps...

Au fait, pourquoi ce président a-t-il est condamné ? Pour une banale affaire d'écoutes téléphoniques où il tentait de corrompre un magistrat, en plus d'une autre affaire en cours de jugement relative à la Libye.

Et pourquoi les anciens pontes du régime de notre pays ont-ils été condamnés ? Pour avoir obéi aux ordres sur de simples coups de téléphone...

Moralité : Dans les deux cas de figure, les dindons de la farce, ce sont les peuples, qui subissent les affres de la mauvaise gouvernance !

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Contribution d’une maison d’édition française

« Il est aussi facile de rêver un livre qu’il est difficile de le faire »

Honoré de Balzac

Résumé de "Tin-n-Ouahr": Mezghena, ville des faux-semblants. On pourrait croire que Tewfiq Baali s’est laissé manipulé, endoctriné, par tout un chacun. Mais, ayant terminé ses études, lui qui semble serein, secret, froid, se trouve à un carrefour important de sa vie, et le volcan qu’il tente de brider depuis des années, risque d’exploser à tout moment… Jeune, philosophe, rebelle, réaliste, et parfois violent –dans ses pensées, ses mots, ses actes à fleur de peau -, il entre dans l’armée, presque malgré lui. Et il découvre un monde qui va le changer à jamais…

Critique : Dénoncer la guerre, la stupidité des hauts gradés, les conditions de vie des soldats. Décrire les petites mesquineries entre appelés, les longues attentes, les dénonciations, l’hypocrisie, les violences et harcèlements quotidiens. C’est sous couvert de fiction que Muhammad Jamal El Kadiri nous fait partager ce que lui a véritablement vécu, les débordements qu' il a essayé de maitriser… Plus qu’un roman de guerre, c’est un témoignage que nous prenons plaisir à lire, qui nous révèle ce que nous n’espérions pas trouver, qui nous révolte et nous emprisonne jusqu’à la dernière phrase.

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Contribution of a french publishing house

" It is as easy to dream a book that is hard to do"

Honoré de Balzac

Summary of "Tin-n-Ouahr": Mezghena, city of pretenses. One might think that Tewfiq Baali has left manipulated, indoctrinated by everyone. But , having finished his studies, he seems serene, secret, cold, he is at an important crossroads in his life, and he tries to rein volcano for years, could explode at any moment ... Young philosopher, rebel , realistic, and sometimes violent , in his thoughts, his words, his actions - on edge , he joined the army, almost despite himself . And discovers a world that is going to change forever ...

Critique : Exposing the war , the stupidity of senior officers , the lives of soldiers. Describe the pettiness between called, long waits , denunciations , hypocrisy , violence and harassment daily . It is under the guise of fiction that Muhammad Jamal El Kadiri shares with us what he truly lived , overflows which he tried to master ... More than a war novel , it is a testimony that we enjoy reading, which reveals to us what we did not expect to find that revolt us and imprisons until the last sentence.

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Bonjour Muhammad,

Une tempête venue d’outre-Méditerranée s’abat sur ce réseau, vos textes sont beaux, compacts comme les dunes de votre Sahara, fluides comme du sable dans la main. Il faut prendre une viatique pour vous lire, nouer un mouchoir sur la tête, marcher au pas lent du chameau, lire et relire vos phrases en évitant de s’enliser. Je viens d’achever ce premier chapitre, cherche une oasis, de l’ombre, de l’air. Vous ne vous essoufflez pas, mais les lecteurs ont du mal à vous suivre. Trop d’un coup, pas l’habitude, toute cette étendue de texte qui s’ouvre encore devant eux. Je fais une halte, je vous conseillerai peut-être une pause à vous aussi. Pensez aux autres, ceux qui souhaitent vous rattraper, lire, mais qui risquent le découragement devant l’immensité de ce désert peuplé de souvenirs, songes, règlements de comptes, où l’on trouve des beautés comme des cactus, d’autres comme des fennecs aux oreilles mobiles.

Voila, au plaisir de lire ces suites déjà nombreuses qui m’attendent comme d’autres traversées.

Thierry de Cabarrus.

Réponse d’El Kadiri à De Cabarrus.

Merci pour ce commentaire à l’étoffe critique, comme je les aime. Impossible de livrer des synopsis plus courts. Les lecteurs doivent prendre le temps de saisir la trame pour aller de l’avant. Une fois entrés dans l’univers de Tewfiq Baali, ils sont libres d’aller où ils veulent, de faire des haltes, de revenir en arrière, de faire des incursions dans le future immédiat, d’imaginer l’avenir lointain…

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Hello Muhammad ,

A storm from beyond the Mediterranean falls on that network , your texts are beautiful , compact as yourSahara.We must take a viaticum to read , tie a handkerchief on his head , walk slow pace of the camel, read and reread your sentences and avoid getting bogged down . I have just finished the first chapter , seeking an oasis of shade , air . Can not you short of breath , but readers are struggling to keep up. Too suddenly, not used , the whole range of text that is still open to them. I stop , I advise you maybe break you. Think of others who wish to catch up , read it, but that may discouragement at the immensity of the desert populated with memories, dreams, settlement of accounts , where there are beauties like cactus, others as fennecs mobile ears.

Then, the pleasure of reading these already numerous suites that await me as other crossings .

Thierry de Cabarrus .

El Kadiri response to De Cabarrus.

Thank you for this comment to critical stuff , I like. Impossible to deliver shorter synopsis. Readers should take the time to grasp the frame to move forward . Once entered into the world of Tewfiq Baali , they are free to go where they want to make stops, to go back , to make inroads in the immediate future , to imagine the distant future ...

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“Ça ne se raconte pas en deux mots”, dit l’un de vos personnages. D’accord, mais je pense que vous auriez intérêt à faire une version plus courte. Vous risquez de perdre vos lecteurs au cours de cet interminable voyage de train (Chapitre 2 du Tome 1). Pardon, mais j’ai sauté en route. Ce que nous écrivons ne doit pas être définitif, gravé dans le marbre. On fait une pause et on taille à nouveau.

Bien cordialement.

Félix.

Réponse d’El Kadiri à Félix

Le chapitre 2 de Tin-n-Ouahr est l’un des textes qui a été des plus difficiles à écrire par l’auteur. Une partie de son âme y est restée… On ne peut soustraire ce qui vous appartient de façon intrinsèque…

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"It can not be told in a few words," said one of your personna. Okay, but I think you may wish to do a shorter version. You may lose your readers during this long train trip (Chapter 2 of Volume 1). Pardon, but I jumped on the road.

What we write should not be definitive, engraved in marble. Take a break and size again.

Sincerely.

Felix.

El Kadiri response to Felix.

Chapter 2 of Tin-n-Ouahr is a text that was more difficult to write by the author. A part of his soul remained there ... You can not escape what is your intrinsically ...

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Gérard Cabane

A : elkadiri

Sujet : Réminiscences.

Message : J’attendais de vous lire un peu plus pour vous donner mon avis mais ce petit message de remerciements que vous m’avez envoyé, et dont je vous remercie, précipite un peu les choses.

J’aime ce que vous écrivez et j’aime surtout la façon dont vous l’écrivez. Ne changez rien et laissez au lecteur la lente progression dans votre histoire.

Ces écrits sont épais et en même temps si aériens que l’on est partagé entre une véritable solitude solaire et le fourmillement du détail. Et que de matière à chaque ligne! Votre style est un fleuve puissant et intarissable avec, au milieu de son cours, des îlots secrets ou foisonnent des trouvailles.

Merci de nous avoir rejoint. Et merci de pouvoir vous lire.

Réponse d’El Kadiri à Cabane.

Voila une critique littéraire, bien élogieuse, pourtant très fine. Vous dites bien que mes textes sont à la fois denses et aériens; ce qui est, vous le concevez, difficilement compatible en littérature… et bien, sachez qu’il m’a fallu une vingtaine d’années pour arriver ??? à associer ces deux concepts…

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Subject: Reminiscences

Message:

I was expecting to read a little more to give you my opinion but this little message of thanks that you sent me, and I thank you, rushing things a but. I like what you write ans I especially like the way you write. Do not change anything and let the reader slow progression of your story. These writings are thick and even if air time is shared between true solar solitude and tingling detail. And how much matter, at each line ! Your style is a powerful and inexhaustible river and in the middle of its course, secret islands or finds abound.

Thank you for joining us in the wolrd of literature. And thank you to read you.

Gérard Cabane.

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El Kadiri response to Cabane.

Here is a literary critic, very fine ! You say that my texts are both dense and aerial, which is, you design, very difficult to reconcile in literature... Well, know that it took me twenty years to get there to combine these two concepts...

Ô my God, I'm excited !... "You are my conscience", said my literature professor in high scholl, when I "steal" him an expression... Because you could quickly grasp the very simple style, but extremely difficult to write my books.

Congratulations!

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Immersion

Commentaire d’un visiteur :

Je ne dirais que trois choses :

-Au début, j’ai eu peur pour mon immersion dans ton roman, tellement la première approche est scientifique. Cependant, on est très vite pris au jeu de ton écriture si claire et précise. La lecture est relativement difficile mais en contrepartie, les images qu’elle nous donne en récompense sont parfaites !

-Histoire qu’on s’attache un peu trop au héros, il me semble qu’il faudrait l’appeler uniquement par son prénom…Et quelques descriptions devraient être plus imagées (pas beaucoup, juste certaines au début)

-Je n’ai pas réussi à lire le premier chapitre d’une traite( écran d’ordinateur oblige) malgré mon envie de le faire. Je te conseille vivement de poster tes textes avec une police plus grande, et de fractionner tes chapitres.

Publié par Rémi.

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Réponse d’El Kadiri à Rémi:

1) L’approche n’a rien de scientifique. Elle est purement littéraire et entend n’être que cela…

2) La filiation arabe utilise toujours le nom et le prénom. Utiliser uniquement le prénom du personnage principal équivaudrait à le faire couper de ses racines,,.

3) Fractionner les chapitres mettrait cette œuvre en apnée, alors qu’elle a besoin de respirer en permanence… Trop décrire n’est pas dans mon style. J’ouvre des pistes et je préfère que les lecteurs les prennent en toute liberté et imaginent ce qu’il y a plus loin. C’est ce qui fait la différence entre un roman classique et un roman moderne.

4) Utiliser une police plus grande, pourquoi pas ? Mais à ce moment-là, le blog serait trop volumineux. Rien n’empêche les lecteurs qui ont des difficultés de lire de le faire eux-mêmes, par copie/coller sur le word de leur ordinateur.

Merci pour vos remarques pertinentes.

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immersion

Reviewed by a guest :

I would say three things:

-At first, I was afraid for my immersion in your novel, so the first approach is scientific. However, it was quickly hooked your writing so clear and precise. Reading is quite difficult but in return, the images it gives us the perfect reward!

-History that focuses a little too hero, I think it should be called only by his first name ... And some descriptions should be more colorful (not much, just some early)

-I have not managed to read the first chapter of a draft (requires computer screen) despite my desire to do so. I urge you to post your text with a larger font, and split your chapters.

Posted by Remi.

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El Kadiri response to Rémi:

1) The approach is unscientific. It is purely literary and intends to be just that ...

2) The Arab descent always uses the first and last name. Use only the first name of the main character tantamount to to cut roots...

3) Split chapters would this work snorkeling, then she needs to breathe ... Too constantly describe is not my style. I open tracks and I prefer that readers take them freely and imagine that there are far more. This is what makes the difference between a novel and a classic modern novel.

4) Use a larger font, why not? But this time, the blog would be too large. Nothing prevents readers who have difficulty reading to do themselves, by copy/paste the word on their computer.
Thank you for your useful comments.

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Quelle est votre conception du talent en littérature ?

Claude.

Réponse d'El Kadiri.

Voila une question large... Je ne détiens pas, en toute honnêteté, la mesure du talent ressenti par les lecteurs... Du moins, je ne peux pas l'exprimer à leur place et je ne cherche pas obstinément à le susciter. Il n'y a pas, en littérature, de notation sur dix, ou sur vingt, comme aux bancs des écoles, ni de valeur en fonction de "l'épaisseur" des livres. Les auteurs ne doivent pas se focaliser sur la prévision de succès qu'ils sont en droit d'attendre de leurs écrits. Moi, je m'efforce d'écrire le plus simplement possible, avec application et sensibilité. Je note tout ce que je ressens, m'attachant à ne pas contrarier ou blesser volontairement les autres. L'essentiel est que le lectorat saisisse ce que j'exprime. Je sais que les uns peuvent aimer ce que vous dites, d'autres pas. C'est la vie...

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What is your conception of talent in literature?

Claude.

Answer by El Kadiri.

Here is a broad question ... I do not hold, in all honesty, the measure of the talent felt by the readers ... At least, I can not express it in their place and I do not stubbornly seek to raise it. There are not, in literature, scores out of ten, or out of twenty, as in school benches, nor of value according to the "thickness" of books. Authors should not focus on the prediction of success they can expect from their writings. I am simply trying to write as easily as possible, with sensitivity and application, what I feel, while at the same time trying not to deliberately hurt or wound others. The key is that the readers understand what I am saying. I know that some can love what you say, others do not. It's life...